Les bottes sont les chaussures que je préfère. Chaque année, je les range avec plaisir assez tard (juin, en Béarn, le printemps est pluvieux) et même si j’aime les petites chaussures, ballerines ou autres tropéziennes, j’ai hâte de les ressortir … mais jamais avant Octobre, été indien oblige.
Bottes, bottines, plates, à talon, masculines ou féminines, à bout pointu, lacées … je les garde depuis des années mais chaque année j’en rachète.
Par contre, il y a une paire de bottes qui me fait rêver depuis longtemps mais que je trouvais vraiment trop chères … pour un envie de modeuse !!!
Comme j’ai un mental de gambas, à force de me trotter en tête, l’envie s’est transformée en un besoin impérieux. Tous les prétextes étant bons et équitation oblige, sans aucun doute, il me les fallait !!!
Un petit coup de pouce du destin puisque je les ai vues en vitrine d’un dépôt-vente, neuves avec leur boîte, dans la bonne pointure … et à moitié prix … il ne m’en fallait pas plus, elles sont à moi (depuis qu’il fait 30°) !!!
Certes, j’ai tellement attendu que j’accuse un retard certain sur l’anglaise la plus fashion de la planète et je ne compte pas sautiller dans les flaques en micro-short.
Je les ai essayées, testées et j’attendais qu’il pleuve pour en profiter. Souhait exhausé depuis hier et je vous assure qu’elles sont fort confortables avec leur petit talon et surtout, elles sont si pratique pour moi qui vais travailler à pied par tout temps …
Avec les averses de ce jour, je vous assure qu’en 5 minutes sous le déluge aucune chaussure ne résiste … sauf mes bottes !!!
Je laisse de côté les chaussettes de la même marque à retourner sur la tige … quoi que … l’hiver arrivant …
