Après des mois d’absence me voici de retour ici. Il a suffit que mon blog soit piraté (j’ai oublié de renouveler le nom de domaine et celui-ci a été récupéré avec la structure de mon blog, étrange résultat) pour me redonner l’envie d’écrire.
Ce blog en est à sa énième renaissance et je ne sais toujours pas ce qui me pousse à raconter ma vie ici. Tout le monde s’en fout de mon journal intime public … quel antagonisme !
Pour le plaisir …
Je suis devenue accro à Instagram mais écrire pour parler de tout et de rien, coucher sur le papier mes états d’âme et mes humeurs me manque. J’ai souvent des idées, je me dit tiens, ça ferait un chouette billet (qui utilise encore ce terme ?) et puis je fais marche arrière, jugeant que ça n’en vaut pas la peine et quand le hasard (ou pas) met sur ma route un post qui traite du même sujet, je me dis que j’ai été bien sotte, pourquoi aurai-je moins de légitimité que d’autres ? Ah, ce maudit symptôme de l’imposteur …
J’ai bien essayé de publier régulièrement mais la contrainte du systématique me pèse. Je suis tellement perfectionniste à vouloir peser le moindre mot, retoucher chaque photo que je finis par ne rien faire.
Je viens d’écrire ces quelques lignes d’un trait, sans ma moindre ligne conductrice et finalement c’est ça que j’adore. Peu importe que j’ai deux, dix ou quelques centaines d’abonnés, ce blog c’est ma mémoire, le journal de ma vie, de mes vies.
Le journal de ma vie ou ma vie en journal
Aujourd’hui, aucun engagement de régularité, mais une petite promesse à moi même de laisser ce lieu un peu moins en friche car je me rends compte que l’écriture m’allège, m’apaise et m’offre des parenthèses d’introspections ou des pistes de réflexion utiles. Par dessus tout, relire mes anciens billets c’est un peu comme retrouver un carnet intime qu’on pensait perdu et cela me procure un immense plaisir.
Je trouve certains carrément bons, d’autres absolument dénués d’intérêt et il est évident que je ne monétiserai jamais ces écrits, et je suis prête à parier que Chatgpt ferait sans doute mieux mais vous s’avez quoi, on s’en moque !!
Alors, je vous entraîne ?
